Martine

Lundi 25 octobre 1 25 /10 /Oct 06:51

L’appartement que nous venions de visiter ce dimanche nous convenait parfaitement. C’était un beau 4 pièces dans un bel immeuble « haussmannien »,  situé dans le 9ème arrondissement de Paris, a ¼ d’heure à pied de mon bureau. Finis les transports en commun, la voiture et toutes ces heures perdues à voyager jusqu’a Paris.

Des travaux importants étant nécessaires dans cet appartement, nous décidions de conserver notre maison quelques temps encore et au moins jusqu'à la fin des travaux. Néanmoins je souhaitais équiper l’appartement d’un minimum d’éléments me permettant d’y rester une nuit de temps en temps, et notamment lorsque mon travail me retiendrait au bureau.

Je connaissais Annie depuis plusieurs années. C’était une jolie femme mariée très amusante qui travaillait dans la boite et avec qui j’aimais bien plaisanter. Il lui arrivait souvent de passer me dire bonjour dans mon bureau ou de me proposer d’aller boire un café au bistrot d’a coté.

Au fil du temps, cette relation sympathique et amicale s’est transformée en moi. Annie m’attirait physiquement et j’avais envie de la baiser. Je profitais du moindre contact physique avec elle pour prolonger l’instant. Lorsque je l’embrassais pour lui dire bonjour, j’insistais plus que d’habitude, et posait lègerement ma main sur elle. Des petits gestes comme ça qui ont fini par attirer son attention, et auxquels elle semblait répondre favorablement. Un matin je me suis lancé, espérant ne pas me ramasser un rateau et peut etre meme  une honte dans toute la boite. Je la revois encore assise en face de moi dans ce café, ne sachant pas quoi dire lorsque je lui ai avoué que j’avais envie de coucher avec elle. Elle se demandait avec un petit sourire hésitant, si je parlais sérieusement ou si je déconnais. C’est lorsqu’elle a été sure que je ne plaisantais pas, qu’elle m’a dit qu’elle aimerait bien coucher avec moi, mais qu’elle était mariée. C’était gagné.

Ce matin, j’ai rendez avec Annie dans mon appart en travaux. C’est notre 1ere rencontre. Elle doit arriver vers 7h, ce qui nous laisse une petite heure pour baiser, les ouvriers n’arrivant pas avant 8h 30, 9h.

Annie n’avait pas connu d’autres hommes en dehors de son mari. Elle découvrait une autre bite, son gout dans sa bouche. Elle sentait une autre langue lui lecher la chatte, d’autres mains lui caresser les seins, les fesses, un autre homme l’embrasser. Elle prenait des initiatives et ça me plaisait. Elle s’offrait entièrement, acceptait toutes les caresses, avalait ma queue volontiers et ouvrait les jambes spontanément. C’est elle qui choisit de venir sur moi, de saisir ma queue et de l’enfoncer dans sa chatte. Elle me chevauchait pendant que mes mains saisissaient ses fesses et que mon doigt faisait doucement le tour de son anus. Ses seins s'agitaient devant mes yeux. Je me mis a la limer lorsque je me sentis prêt à jouir. Je venais enfin d’éjaculer dans la chatte d’Annie.

Nous nous sommes revus une fois encore dans cet appartement, avant que Martine et moi n’y habitions définitivement. Cette fois là, hasard merveilleux des choses, je baisais Annie le matin et le soir meme, je baisais Martine qui était venu me retrouver pour passer la nuit avec moi. Pendant que Martine me suçait, je pensais a Annie, a sa langue sur ma queue, a sa chatte dans laquelle je venais d'éjaculer. J’imaginais ma bite imprégnée de son odeur et qui se retrouvait à présent dans la bouche de Martine, dans sa chatte. Martine sentirait-elle l'odeur de celle qui, quelques heures auparavant, était dans ce lit ? Après avoir été chevauché par Annie, je chevauchais Martine et je joussais autant.

 

Avec la fin des travaux, ma relation avec Annie allait etre plus difficile, mais pas moins interessante…

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Par kallumet.erog.fr - Publié dans : Martine
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Dimanche 24 octobre 7 24 /10 /Oct 15:05

Marc travaillait dans la même boite que moi. Au fil du temps, nos relations ont dépassé le cadre du travail, nous étions devenus des amis. Bavard et très chaleureux, il prenait tout du bon coté. Mais il avait un méchant défaut : il avait un énorme problème avec l’heure. Ce célibataire dans la quarantaine n’aimait pas beaucoup les contraintes et l'heure en était une pour lui.

Pour Martine, c’était un véritable cauchemar de préparer un repas lorsque nous l’invitions à diner. Impossible de savoir a quelle heure il allait bien pouvoir arriver. Il nous est meme arrivé un soir de penser qu’il n’allait plus venir, et fatigués de l’attendre, nous nous sommes mis à table. Le portable n'existait pas encore. Marc finit par arriver au milieu du repas, large sourire désarmant au visage, bouteille de vin et fleurs aux bras. L'art et la maniere de retourner la situation : c'est nous qui étions les plus génés.

 

Martine l’appréciait beaucoup car il était toujours très attentionné et plein d'humour. 

Nos soirées commençaient donc tard en général et s’éternisaient souvent. Parfois Martine nous quittait pour aller se coucher, nous laissant au salon, un verre de cognac a la main. C'était pas très convenable, mais Marc comprenait très bien.

Ce soir là nous attendions Marc à dîner. J’avais réussi à convaincre Martine d’accepter un petit scénario pas bien méchant, mais qui, dans ma tète, représentait un petit début. 

Marc arriva enfin. La soirée se déroula comme d’habitude dans la bonne humeur. Martine était un peu tendue tout de meme. Moi, j’étais plutôt impatient. Impatient de voir si Martine allait tenir sa promesse, et comment moi meme je réagirais.

Le repas se termina enfin. Martine débarrassa la table puis nous rejoignit au salon. Elle resta avec nous quelques minutes avant de décider d’aller se coucher, comme elle le faisait parfois. Le scénario semblait s'amorcer.

Notre chambre donnait dans le fond du salon. De cet endroit précis, on pouvait voir l’intérieur de la chambre qui était éclairée par la lumière du salon.

Comme nous en avions convenu, Martine laissa la porte de la chambre ouverte.

Marc ne tenait pas en place. Il parlait, allait et venait le verre a la main, s’asseyait sur son fauteuil, se levait…. J’attendais, excité, le moment ou il allait s’apercevoir que du fond du salon, en tournant un peu la tete, il verrait Martine allongée sur le lit. Ce moment  arriva enfin. Marc marqua un temps d’arret, surpris de ce qu’il voyait et peut etre un peu géné. Moi, pas très a l'aise non plus, je faisais celui. Je devinais ce qu'il voyait. Je devinais Martine allongée nue sur le lit, offerte à son regard. J 'imaginais ce qui pouvait se passer dans la tete de Martine, se sachant regardée et désirée. J'imaginais Marc se retenant de rejoindre Martine dans la chambre pour la toucher et lui offrir sa bite.

Après un temps de flottement, Marc se repris, regagna son fauteuil, visiblement troublé. Pour la 1ere fois, je constatais que ce plaisir un peu bizarre que j’avais ressenti lorsque Martine m'avait raconté comment Jean-Claude l'avait baisée il y a quelques années, n’était pas seulement un fantasme. J'étais dans le concret et je ressentais ce plaisir de savoir Martine convoitée par un autre, prete a etre baisée . Ce plaisir se renouvela chaque fois que Marc se levait et se dirigeait sans y paraitre vers le fond du salon d’où il pouvait voir Martine. 

J’étais fière de Martine. Elle avait osé se montrer nue à Marc et en ma présence. J’étais fière et excité de savoir que Marc avait surement eu envie d’elle et que probablement il allait se branler en rentrant chez lui, avec dans la tete les images de Martine sur qui il allait éjaculer en pensée. Est-ce que j’aurais aimé qu’il la touche, qu’il la baise, là devant moi ? Je ne crois pas.

Marc est revenu diner a la maison, mais Martine a refusé de recommencer a s’exhiber.

C’est aux vacances qui ont suivies que d’autres occasions se présentèrent. Nous étions partis a Chauzon, un petit village très sympathique au bord de l’Ardèche. Nous allions nous baigner dans une petite crique où la plupart des gens sont nus. Si pour ma part je n’hésitais pas a tomber le maillot, Martine, elle, avait quelques réticences. Nous étions là depuis une dizaine de jours et Martine s’était enfin habituée a sa nudité. Elle se baignait ou se faisait bronzer nue, au milieu d’hommes et de femmes, aussi nus que nous.

Je suis arrivé à la convaincre de prendre un livre et de s’étendre en écartant un peu les jambes afin de permettre aux promeneurs d’admirer la naissance de sa chatte. Je lui demandais de regarder les nombreuses bites qui passaient, de les comparer a la mienne, plutot que de détourner le regard par pudeur. Quel plaisir de la surprendre alors écartant les jambes un peu plus qu’il ne convient, au passage de ces hommes les yeux braqués sur sa chatte ! Quel bonheur de la voir regarder toutes ces bites que j'imaginais se gonflant dans ses mains, dans sa bouche ! doigts dans chatte

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Jeudi 21 octobre 4 21 /10 /Oct 05:12

La plupart des hommes seraient vexés, jaloux ou fous de rage d'entendre leur femme leur avouer qu'elle aimerait se faire baiser par un autre. Pas moi. D'ailleurs, si Martine m'avoue cette envie, c'est évidemment parce que je lui ai posé la question, mais aussi parce qu'elle est sure de ma réaction. Lorsque je remonte dans mes souvenirs, je me rappelle quelques circonstances où mon attitude a pu lui donner cette assurance qu'elle a aujourd'hui.


La 1ère fois, c'était au début de notre mariage. Nous habitions un petit village perdu à une soixantaine de km de Paris. Martine travaillait alors dans une banque à Paris ou elle assurait le secrétariat d'un petit service. Ce service était dirigé par Monsieur B.... C'est toujours ainsi qu'elle l'appelait.  Il avait une bonne vingtaine d'années de plus qu'elle, il était marié et il était son patron. D'où cette marque de respect.

Monsieur B... avait pour habitude de l'inviter au restaurant, et traditionnellement en fin d'année,. Parfois il le faisait accompagné de son épouse, parfois sans elle. Une soirée tout a fait convenable et comme il en exist

e dans toutes les entreprises. Une soirée plus ou moins appréciée d'ailleurs. Mais bon, ça fait partie des convenances.

 

Ce soir là, elle avait rendez vous chez son directeur qui habitait Paris. C'est au petit matin qu'elle m'a raconté cette soirée.

 

 

Lorsqu'elle est arrivée, son directeur l'a reçue avec une serviette de bain autour de la taille. Il était en train de prendre sa douche. Il a fait asseoir Martine dans le salon en s'excusant de la recevoir dans cette tenue. Il lui apprit que son épouse ne serait pas de la soirée, étant elle même en déplacement. 

 

Martine patientait dans le salon depuis quelques minutes lorsque son directeur est apparu, complètement nu. Il s'est dirigé vers elle et lui a demandé de lui caresser la bite qu'il avait en érection, tout en essayant de la tripoter. Surprise et plutôt très gênée, elle décidait de partir. Voyant que les choses prenaient une mauvaise tournure, son directeur très embêté et honteux, s'excusa platement et la pria de rester, lui promettant qu'il n'y aurait plus aucun incident de ce genre.

 

Effectivement, la soirée au restaurant s'est passée sans problème. Une certaine gêne planait toutefois sur la soirée. Après le repas et probablement désireux d'effacer l'incident que Martine aurait pu rapporter au bureau, il lui a proposé de venir prendre 'un dernier verre' chez lui. Elle hésita car il se faisait tard, elle était un peu fatiguée et il y avait 60 km de route qui l'attendaient pour rentrer a la maison. Et puis, elle n'avait pas confianc

e.  Elle accepta tout de même.

 

C'est vers 1 h du matin que je fus réveillé par le téléphone. C'était Martine qui m'appelait pour me dire de ne pas m'inquiéter, qu'elle restait dormir a Paris, ne se sentant pas le courage de faire de la route a cette heure, et qu'elle reviendrait dans la matinée.

 

 

Son directeur venait de lui  proposer de rester dormir chez lui et il lui avait offert la chambre d'amis pour y passer la nuit.

 

Dans la nuit,  elle est réveillée brusquement. Elle sent une main entre ses jambes cherchant a atteindre sa chatte. Son directeur était là, nu, la bite en érection. Elle s'est levée et s'en est allée aussitôt.


Voila ce que Martine m'a raconté.

 

Bien difficile de croire a son histoire. Difficile de croire que rien ne s'est passé entre eux. Difficile d'imaginer que Martine accepte de dormir tranquillement chez cet homme qui venait quasiment de lui sauter dessus. Pourtant, Martine me répète a chaque fois que c'est la vérité, me précisant meme que si c'était a refaire, elle se laisserait baiser.

A l'époque je n'ai éprouvé aucune jalousie, aucune colère après cette histoire. Si elle m'avait dit qu'elle a sucé son directeur, qu'il l'a baisée et qu'elle a pris son pied toute la nuit, je n'aurais pas non plus été jaloux. Je pense même que j'en aurais éprouvé une sorte de plaisir.


Quelques années plus tard, j'ai eu l'occasion de ressentir à nouveau ce même étrange sentiment.....

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Par kallumet.erog.fr - Publié dans : Martine
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Jeudi 21 octobre 4 21 /10 /Oct 05:08

Il n'y avait pas une chance sur mille pour que je le rencontre ici. Je n'avais pas revu Jean-Claude depuis des années. Nous étions de très bons amis alors que nous étions célibataires. Et puis la vie s'est chargée de nous séparer.

 

Mais que faisait-il dans la boulangerie de ce petit village perdu a coté duquel nous habitions Martine et moi ? Bon, vous allez me répondre qu'il achetait du pain. Non, on ne vient pas acheter du pain dans ce bled, tout a fait par hasard. On y vient parce qu'on y habite.

 

Jean-Claude venait d'acheter un terrain dans le village et il y faisait construire sa maison. En attendant, il habitait avec sa femme Patricia dans une caravane posée sur le terrain.

 

Nous décidions de continuer cette conversation et de fêter nos retrouvailles autour d'un verre, a la maison.

 

Martine fut très heureuse de revoir Jean-Claude et Patricia. Nous n'en revenions pas d'apprendre qu'ils allaient habiter a quelques centaines de mètres de chez nous. Ils étaient là depuis plus de 3 mois et nous ne le savions pas !

 

L'hiver s'installait et il faisait de plus en plus froid. Dans leur caravane, Jean Claude et Patricia n'étaient pas a la fête. Nous leur avons proposé de venir passer quelques jours a la maison, le temps que les températures remontent un peu. Ils acceptèrent avec joie.

 

Jean-Claude travaille dans une agence bancaire de la région. Une agence ouverte le samedi mais fermée le lundi. Un petit détail qui va avoir une grande importance pour la suite. Patricia et moi, travaillons a Paris. Pour nous, la semaine de travail se termine le vendredi soir et reprend le lundi matin. Quant a Martine, elle ne travaille plus depuis quelques temps déjà.


 On aura compris que le lundi, Jean-Claude et Martine se retrouvent seuls a la maison. 


Nos amis sont restés chez nous une quinzaine de jours sans poser le moindre problème. Nous passions des soirées très agréables a discuter entre nous. Jamais le moindre doute m'est venu a l'esprit. Le temps s'étant amélioré, nos amis sont retournés dans leur caravane.

 

Mais dans un bled, tout finit par se savoir. C'est Patricia qui, la 1ere, a été alertée. Un lundi, elle part travailler comme d'habitude, mais décide de revenir quelques heures plus tard. Ne trouvant pas Jean-Claude dans la caravane, elle décide d'aller voir chez moi. Le doute n'était plus permis. Jean Claude et Martine étaient bien là, ensemble, et pour eux la surprise fut totale.


Quand je suis rentré le soir, Martine m'a tout de suite mis au courant de cette situation qu'elle ne pouvait évidemment pas me cacher. Patricia est venue dans la soirée, comme une furie, pour me dire ce qu'elle pensait de Martine, a fait son petit scandale, et nous a dit qu'elle ne voulait plus jamais entendre parler de nous. Nous n'avons plus jamais renoué le moindre contact.


Voila comment des retrouvailles se terminent en séparation définitive.


Ce que Martine m'a avoué par la suite, c'est qu'elle avait couché une 1ere fois avec Jean-Claude lorsque nous les avions hébergés chez nous. Puis ils se sont revus les lundis suivants. J'ai voulu savoir dans les détails ce qu'ils avaient fait ensemble. Je voulais savoir comment il l'avait baisée, ce qu'ill lui avait fait, ce qu'elle lui avait fait. J'avais besoin de le savoir.

Martine m'a raconté que ce matin la, alors qu'elle était dans la cuisine, il est arrivé derriere elle et l'a enlacée presque amicalement. Plutot que de le repousser, elle s'est rapprochée de lui. Il l'a alors embrassé et entrainée dans notre chambre. J'étais heureux de savoir qu'il l'avait deshabillée. Je ressentais un certain plaisir d'apprendre qu'elle l'avait sucé et qu'il lui avait mangé la chatte. J'étais presque content de savoir qu'il lui avait mis sa bite entre les jambes, qu'il avait penétré sa chatte et joui en elle. Je savais qu'elle ferait en sorte qu'il l'a baise en levrette. Je savais qu'au moment ou elle le sentirait jouir en elle, elle passerait sa main entre ses jambes pour saisir les couilles de Jean Claude et les presser délicatement pour les vider jusqu'a la dernière goutte de sperme, comme elle aime le faire. J'espérais que la bite de Jean Claude soit bien dure et qu'elle remplisse bien sa chatte.

 

Mon regret, c'est que Jean Claude n'ait pas réussi à l'enculer malgré une timide tentative. Martine est toujours vierge de ce coté là.


Cette histoire n'a pas provoqué en moi la colère du mari trompé. J'avais juste un peu honte de savoir que j'allais etre le cocu du village.

C'est seulement aujourd'hui que je me rends compte que ma réaction, ce plaisir dissimulé de savoir que ma femme se fait baiser par un autre, c'est celui d'un candauliste.

 

C'est grave ?

martine 17-10-10

Par kallumet.erog.fr - Publié dans : Martine
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