Dimanche 24 octobre 7 24 /10 /Oct 15:05

Marc travaillait dans la même boite que moi. Au fil du temps, nos relations ont dépassé le cadre du travail, nous étions devenus des amis. Bavard et très chaleureux, il prenait tout du bon coté. Mais il avait un méchant défaut : il avait un énorme problème avec l’heure. Ce célibataire dans la quarantaine n’aimait pas beaucoup les contraintes et l'heure en était une pour lui.

Pour Martine, c’était un véritable cauchemar de préparer un repas lorsque nous l’invitions à diner. Impossible de savoir a quelle heure il allait bien pouvoir arriver. Il nous est meme arrivé un soir de penser qu’il n’allait plus venir, et fatigués de l’attendre, nous nous sommes mis à table. Le portable n'existait pas encore. Marc finit par arriver au milieu du repas, large sourire désarmant au visage, bouteille de vin et fleurs aux bras. L'art et la maniere de retourner la situation : c'est nous qui étions les plus génés.

 

Martine l’appréciait beaucoup car il était toujours très attentionné et plein d'humour. 

Nos soirées commençaient donc tard en général et s’éternisaient souvent. Parfois Martine nous quittait pour aller se coucher, nous laissant au salon, un verre de cognac a la main. C'était pas très convenable, mais Marc comprenait très bien.

Ce soir là nous attendions Marc à dîner. J’avais réussi à convaincre Martine d’accepter un petit scénario pas bien méchant, mais qui, dans ma tète, représentait un petit début. 

Marc arriva enfin. La soirée se déroula comme d’habitude dans la bonne humeur. Martine était un peu tendue tout de meme. Moi, j’étais plutôt impatient. Impatient de voir si Martine allait tenir sa promesse, et comment moi meme je réagirais.

Le repas se termina enfin. Martine débarrassa la table puis nous rejoignit au salon. Elle resta avec nous quelques minutes avant de décider d’aller se coucher, comme elle le faisait parfois. Le scénario semblait s'amorcer.

Notre chambre donnait dans le fond du salon. De cet endroit précis, on pouvait voir l’intérieur de la chambre qui était éclairée par la lumière du salon.

Comme nous en avions convenu, Martine laissa la porte de la chambre ouverte.

Marc ne tenait pas en place. Il parlait, allait et venait le verre a la main, s’asseyait sur son fauteuil, se levait…. J’attendais, excité, le moment ou il allait s’apercevoir que du fond du salon, en tournant un peu la tete, il verrait Martine allongée sur le lit. Ce moment  arriva enfin. Marc marqua un temps d’arret, surpris de ce qu’il voyait et peut etre un peu géné. Moi, pas très a l'aise non plus, je faisais celui. Je devinais ce qu'il voyait. Je devinais Martine allongée nue sur le lit, offerte à son regard. J 'imaginais ce qui pouvait se passer dans la tete de Martine, se sachant regardée et désirée. J'imaginais Marc se retenant de rejoindre Martine dans la chambre pour la toucher et lui offrir sa bite.

Après un temps de flottement, Marc se repris, regagna son fauteuil, visiblement troublé. Pour la 1ere fois, je constatais que ce plaisir un peu bizarre que j’avais ressenti lorsque Martine m'avait raconté comment Jean-Claude l'avait baisée il y a quelques années, n’était pas seulement un fantasme. J'étais dans le concret et je ressentais ce plaisir de savoir Martine convoitée par un autre, prete a etre baisée . Ce plaisir se renouvela chaque fois que Marc se levait et se dirigeait sans y paraitre vers le fond du salon d’où il pouvait voir Martine. 

J’étais fière de Martine. Elle avait osé se montrer nue à Marc et en ma présence. J’étais fière et excité de savoir que Marc avait surement eu envie d’elle et que probablement il allait se branler en rentrant chez lui, avec dans la tete les images de Martine sur qui il allait éjaculer en pensée. Est-ce que j’aurais aimé qu’il la touche, qu’il la baise, là devant moi ? Je ne crois pas.

Marc est revenu diner a la maison, mais Martine a refusé de recommencer a s’exhiber.

C’est aux vacances qui ont suivies que d’autres occasions se présentèrent. Nous étions partis a Chauzon, un petit village très sympathique au bord de l’Ardèche. Nous allions nous baigner dans une petite crique où la plupart des gens sont nus. Si pour ma part je n’hésitais pas a tomber le maillot, Martine, elle, avait quelques réticences. Nous étions là depuis une dizaine de jours et Martine s’était enfin habituée a sa nudité. Elle se baignait ou se faisait bronzer nue, au milieu d’hommes et de femmes, aussi nus que nous.

Je suis arrivé à la convaincre de prendre un livre et de s’étendre en écartant un peu les jambes afin de permettre aux promeneurs d’admirer la naissance de sa chatte. Je lui demandais de regarder les nombreuses bites qui passaient, de les comparer a la mienne, plutot que de détourner le regard par pudeur. Quel plaisir de la surprendre alors écartant les jambes un peu plus qu’il ne convient, au passage de ces hommes les yeux braqués sur sa chatte ! Quel bonheur de la voir regarder toutes ces bites que j'imaginais se gonflant dans ses mains, dans sa bouche ! doigts dans chatte

Par kallumet.erog.fr - Publié dans : Martine
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Présentation

Derniers Commentaires

Catégories

Recherche

LIENS

 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés