Jeudi 21 octobre 4 21 /10 /Oct 05:08

Il n'y avait pas une chance sur mille pour que je le rencontre ici. Je n'avais pas revu Jean-Claude depuis des années. Nous étions de très bons amis alors que nous étions célibataires. Et puis la vie s'est chargée de nous séparer.

 

Mais que faisait-il dans la boulangerie de ce petit village perdu a coté duquel nous habitions Martine et moi ? Bon, vous allez me répondre qu'il achetait du pain. Non, on ne vient pas acheter du pain dans ce bled, tout a fait par hasard. On y vient parce qu'on y habite.

 

Jean-Claude venait d'acheter un terrain dans le village et il y faisait construire sa maison. En attendant, il habitait avec sa femme Patricia dans une caravane posée sur le terrain.

 

Nous décidions de continuer cette conversation et de fêter nos retrouvailles autour d'un verre, a la maison.

 

Martine fut très heureuse de revoir Jean-Claude et Patricia. Nous n'en revenions pas d'apprendre qu'ils allaient habiter a quelques centaines de mètres de chez nous. Ils étaient là depuis plus de 3 mois et nous ne le savions pas !

 

L'hiver s'installait et il faisait de plus en plus froid. Dans leur caravane, Jean Claude et Patricia n'étaient pas a la fête. Nous leur avons proposé de venir passer quelques jours a la maison, le temps que les températures remontent un peu. Ils acceptèrent avec joie.

 

Jean-Claude travaille dans une agence bancaire de la région. Une agence ouverte le samedi mais fermée le lundi. Un petit détail qui va avoir une grande importance pour la suite. Patricia et moi, travaillons a Paris. Pour nous, la semaine de travail se termine le vendredi soir et reprend le lundi matin. Quant a Martine, elle ne travaille plus depuis quelques temps déjà.


 On aura compris que le lundi, Jean-Claude et Martine se retrouvent seuls a la maison. 


Nos amis sont restés chez nous une quinzaine de jours sans poser le moindre problème. Nous passions des soirées très agréables a discuter entre nous. Jamais le moindre doute m'est venu a l'esprit. Le temps s'étant amélioré, nos amis sont retournés dans leur caravane.

 

Mais dans un bled, tout finit par se savoir. C'est Patricia qui, la 1ere, a été alertée. Un lundi, elle part travailler comme d'habitude, mais décide de revenir quelques heures plus tard. Ne trouvant pas Jean-Claude dans la caravane, elle décide d'aller voir chez moi. Le doute n'était plus permis. Jean Claude et Martine étaient bien là, ensemble, et pour eux la surprise fut totale.


Quand je suis rentré le soir, Martine m'a tout de suite mis au courant de cette situation qu'elle ne pouvait évidemment pas me cacher. Patricia est venue dans la soirée, comme une furie, pour me dire ce qu'elle pensait de Martine, a fait son petit scandale, et nous a dit qu'elle ne voulait plus jamais entendre parler de nous. Nous n'avons plus jamais renoué le moindre contact.


Voila comment des retrouvailles se terminent en séparation définitive.


Ce que Martine m'a avoué par la suite, c'est qu'elle avait couché une 1ere fois avec Jean-Claude lorsque nous les avions hébergés chez nous. Puis ils se sont revus les lundis suivants. J'ai voulu savoir dans les détails ce qu'ils avaient fait ensemble. Je voulais savoir comment il l'avait baisée, ce qu'ill lui avait fait, ce qu'elle lui avait fait. J'avais besoin de le savoir.

Martine m'a raconté que ce matin la, alors qu'elle était dans la cuisine, il est arrivé derriere elle et l'a enlacée presque amicalement. Plutot que de le repousser, elle s'est rapprochée de lui. Il l'a alors embrassé et entrainée dans notre chambre. J'étais heureux de savoir qu'il l'avait deshabillée. Je ressentais un certain plaisir d'apprendre qu'elle l'avait sucé et qu'il lui avait mangé la chatte. J'étais presque content de savoir qu'il lui avait mis sa bite entre les jambes, qu'il avait penétré sa chatte et joui en elle. Je savais qu'elle ferait en sorte qu'il l'a baise en levrette. Je savais qu'au moment ou elle le sentirait jouir en elle, elle passerait sa main entre ses jambes pour saisir les couilles de Jean Claude et les presser délicatement pour les vider jusqu'a la dernière goutte de sperme, comme elle aime le faire. J'espérais que la bite de Jean Claude soit bien dure et qu'elle remplisse bien sa chatte.

 

Mon regret, c'est que Jean Claude n'ait pas réussi à l'enculer malgré une timide tentative. Martine est toujours vierge de ce coté là.


Cette histoire n'a pas provoqué en moi la colère du mari trompé. J'avais juste un peu honte de savoir que j'allais etre le cocu du village.

C'est seulement aujourd'hui que je me rends compte que ma réaction, ce plaisir dissimulé de savoir que ma femme se fait baiser par un autre, c'est celui d'un candauliste.

 

C'est grave ?

martine 17-10-10

Par kallumet.erog.fr - Publié dans : Martine
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