C’est la 2^ème fois que nous rencontrons Alain. Cette fois Martine attend son arrivée et le  reçoit avec moi. Elle est plutôt séduisante dans cette petite robe qu’elle a enfilée sur un slip et un soutien gorge.  La soirée s’annonce plus détendue que la précédente et nous prenons le temps de bavarder un peu avant d’entrer dans le vif du sujet. Assis au salon autour d’un verre nous faisons plus ample connaissance avec Alain qui s’avère être vraiment très sympathique. On en oublierait presque le but de sa visite. C’est Martine qui me le rappelle malgré elle, en s’approchant de moi. Je saisis alors l’occasion et la prend dans mes bras. Elle pose sa tête contre mon épaule et passe ses bras autour de mon coup. Doucement je soulève sa robe et lui baisse suffisamment le slip pour dévoiler ses fesses. Alain placé en face, commence déjà à se dévêtir. Je lui demande d'approcher et de finir d'enlever le slip de Martine. J'entraine Mattine dans la chambre accompagné de Alain, complètement nu à présent et en pleine érection. Ce gars a décidément une belle queue. Moi je reste habillé car cette fois, Martine et moi avons décidé que je serai spectateur. J’explique alors à Alain qu’il peut disposer de Martine mais sans la pénétrer. Si dans mes fantasmes je rêvais de voir Martine se faire baiser par un autre, dans la réalité j’ai beaucoup moins envie. C’est un privilège que je tiens à garder pour l’instant. Pour Alain c’est une divine surprise. Il s’imaginait a nouveau spectacteur, et le voilà acteur dans le 1^er role. Il allonge aussitôt Martine sur le lit lui soulève la robe et commence a lui explorer la chatte. Martine, jambres écartées et robe remontée,s’abandonne totalement à lui. Alain se met a présent sur elle, cherche sa bouche, sa langue se mêle a la sienne. Il se relève, entreprend de lui retirer sa robe. Sa queue, impressionnante de dureté, se colle a ussitot à Martine qui s’enroule autour lui. Elle lui saisit la queue. Sa main glisse le long du membre et son pouce frotte délicatement le bout du gland. Je tends alors a Martine le préservatif que nous avions préparé et qu’elle enfile adroitement sur la queue d’Alain. Elle commence alors a le pomper, lui, a genoux sur le lit, elle allongée sur le ventre tenant la bite dans sa bouche.

Je regarde avec un certain plaisir la grosse bite d’Alain ornée du préservatif, entrer et sortir de la bouche de ma femme. Alain est blême de plaisir. Il tente de la retourner pour un 69. Je lui fais comprendre aussitôt qu’il ne doit pas le faire.Il se contente alors de caresser sa moule pendant qu’elle continue à le sucer. Moi, j’assiste a ce spectacle excitant. Je n’ai pas envie de baiser Martine, j’ai juste envie de la voir prendre du plaisir avec un autre. Je baisse mon pantalon, je sors ma bite et je commence a me branler. Je pense à Annie. J’aurais bien aimé qu’elle soit là. Martine a cessé de le sucer et elle entreprend de le masturber comme elle sait si bien le faire. Elle place la queue d’Alain entre ses mains ouvertes et roule la roule comme on le ferait avec un bout de bois pour essayer d’allumer un feu. L’effet est garanti et je peux facilement imaginer ce que ressent Alain pour l’avoir subi maintes fois. Maintenant c’est lui qui parcourt tout son corps de ses mains. Il la tourne et la retourne, lui écarte les jambes, lui enfile ses doigts dans la chatte, lui met sa bite entre les seins, elle le suce encore... Moi je me branle de plus en plus vite….

A cet instant, le téléphone sonne. Je sors de la pièce, pousse la porte et je vais  décrocher l’appareil dans le salon. C’est mon frère qui m’appelle pour des conneries. Pourquoi ai-je été décrocher ??? Il me faut 1 minute pour mettre fin a la communication sans le vexer. Je ne bande plus, le téléphone m’a coupé l’effet. Lorsque je rentre dans la chambre, je vois Alain en train de chevaucher Martine dans la position du missionnaire. Il a profité de mon absence pour la pénétrer. Deçu, je retourne au salon. Quelques instants après, Alain apparaît. Il récupère ses vetements qu’il avait laissés sur le fauteuil et se rhabille. Il tente quelques explications, s’excuse, et s’en va. 

Quant a Martine, elle prétend que les choses se sont passées très vite. Lorsqu’elle a senti la bite d’Alain la pénétrer, il était trop tard. Elle n’avait plus la force ni la volonté de l’arreter.

J’étais largement fautif et je ne pouvais pas leur en vouloir plus que ça...

Auteur : Jerome