Jeudi 21 octobre 4 21 /10 /Oct 05:12

La plupart des hommes seraient vexés, jaloux ou fous de rage d'entendre leur femme leur avouer qu'elle aimerait se faire baiser par un autre. Pas moi. D'ailleurs, si Martine m'avoue cette envie, c'est évidemment parce que je lui ai posé la question, mais aussi parce qu'elle est sure de ma réaction. Lorsque je remonte dans mes souvenirs, je me rappelle quelques circonstances où mon attitude a pu lui donner cette assurance qu'elle a aujourd'hui.


La 1ère fois, c'était au début de notre mariage. Nous habitions un petit village perdu à une soixantaine de km de Paris. Martine travaillait alors dans une banque à Paris ou elle assurait le secrétariat d'un petit service. Ce service était dirigé par Monsieur B.... C'est toujours ainsi qu'elle l'appelait.  Il avait une bonne vingtaine d'années de plus qu'elle, il était marié et il était son patron. D'où cette marque de respect.

Monsieur B... avait pour habitude de l'inviter au restaurant, et traditionnellement en fin d'année,. Parfois il le faisait accompagné de son épouse, parfois sans elle. Une soirée tout a fait convenable et comme il en exist

e dans toutes les entreprises. Une soirée plus ou moins appréciée d'ailleurs. Mais bon, ça fait partie des convenances.

 

Ce soir là, elle avait rendez vous chez son directeur qui habitait Paris. C'est au petit matin qu'elle m'a raconté cette soirée.

 

 

Lorsqu'elle est arrivée, son directeur l'a reçue avec une serviette de bain autour de la taille. Il était en train de prendre sa douche. Il a fait asseoir Martine dans le salon en s'excusant de la recevoir dans cette tenue. Il lui apprit que son épouse ne serait pas de la soirée, étant elle même en déplacement. 

 

Martine patientait dans le salon depuis quelques minutes lorsque son directeur est apparu, complètement nu. Il s'est dirigé vers elle et lui a demandé de lui caresser la bite qu'il avait en érection, tout en essayant de la tripoter. Surprise et plutôt très gênée, elle décidait de partir. Voyant que les choses prenaient une mauvaise tournure, son directeur très embêté et honteux, s'excusa platement et la pria de rester, lui promettant qu'il n'y aurait plus aucun incident de ce genre.

 

Effectivement, la soirée au restaurant s'est passée sans problème. Une certaine gêne planait toutefois sur la soirée. Après le repas et probablement désireux d'effacer l'incident que Martine aurait pu rapporter au bureau, il lui a proposé de venir prendre 'un dernier verre' chez lui. Elle hésita car il se faisait tard, elle était un peu fatiguée et il y avait 60 km de route qui l'attendaient pour rentrer a la maison. Et puis, elle n'avait pas confianc

e.  Elle accepta tout de même.

 

C'est vers 1 h du matin que je fus réveillé par le téléphone. C'était Martine qui m'appelait pour me dire de ne pas m'inquiéter, qu'elle restait dormir a Paris, ne se sentant pas le courage de faire de la route a cette heure, et qu'elle reviendrait dans la matinée.

 

 

Son directeur venait de lui  proposer de rester dormir chez lui et il lui avait offert la chambre d'amis pour y passer la nuit.

 

Dans la nuit,  elle est réveillée brusquement. Elle sent une main entre ses jambes cherchant a atteindre sa chatte. Son directeur était là, nu, la bite en érection. Elle s'est levée et s'en est allée aussitôt.


Voila ce que Martine m'a raconté.

 

Bien difficile de croire a son histoire. Difficile de croire que rien ne s'est passé entre eux. Difficile d'imaginer que Martine accepte de dormir tranquillement chez cet homme qui venait quasiment de lui sauter dessus. Pourtant, Martine me répète a chaque fois que c'est la vérité, me précisant meme que si c'était a refaire, elle se laisserait baiser.

A l'époque je n'ai éprouvé aucune jalousie, aucune colère après cette histoire. Si elle m'avait dit qu'elle a sucé son directeur, qu'il l'a baisée et qu'elle a pris son pied toute la nuit, je n'aurais pas non plus été jaloux. Je pense même que j'en aurais éprouvé une sorte de plaisir.


Quelques années plus tard, j'ai eu l'occasion de ressentir à nouveau ce même étrange sentiment.....

martine cul

Par kallumet.erog.fr - Publié dans : Martine
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Jeudi 21 octobre 4 21 /10 /Oct 05:08

Il n'y avait pas une chance sur mille pour que je le rencontre ici. Je n'avais pas revu Jean-Claude depuis des années. Nous étions de très bons amis alors que nous étions célibataires. Et puis la vie s'est chargée de nous séparer.

 

Mais que faisait-il dans la boulangerie de ce petit village perdu a coté duquel nous habitions Martine et moi ? Bon, vous allez me répondre qu'il achetait du pain. Non, on ne vient pas acheter du pain dans ce bled, tout a fait par hasard. On y vient parce qu'on y habite.

 

Jean-Claude venait d'acheter un terrain dans le village et il y faisait construire sa maison. En attendant, il habitait avec sa femme Patricia dans une caravane posée sur le terrain.

 

Nous décidions de continuer cette conversation et de fêter nos retrouvailles autour d'un verre, a la maison.

 

Martine fut très heureuse de revoir Jean-Claude et Patricia. Nous n'en revenions pas d'apprendre qu'ils allaient habiter a quelques centaines de mètres de chez nous. Ils étaient là depuis plus de 3 mois et nous ne le savions pas !

 

L'hiver s'installait et il faisait de plus en plus froid. Dans leur caravane, Jean Claude et Patricia n'étaient pas a la fête. Nous leur avons proposé de venir passer quelques jours a la maison, le temps que les températures remontent un peu. Ils acceptèrent avec joie.

 

Jean-Claude travaille dans une agence bancaire de la région. Une agence ouverte le samedi mais fermée le lundi. Un petit détail qui va avoir une grande importance pour la suite. Patricia et moi, travaillons a Paris. Pour nous, la semaine de travail se termine le vendredi soir et reprend le lundi matin. Quant a Martine, elle ne travaille plus depuis quelques temps déjà.


 On aura compris que le lundi, Jean-Claude et Martine se retrouvent seuls a la maison. 


Nos amis sont restés chez nous une quinzaine de jours sans poser le moindre problème. Nous passions des soirées très agréables a discuter entre nous. Jamais le moindre doute m'est venu a l'esprit. Le temps s'étant amélioré, nos amis sont retournés dans leur caravane.

 

Mais dans un bled, tout finit par se savoir. C'est Patricia qui, la 1ere, a été alertée. Un lundi, elle part travailler comme d'habitude, mais décide de revenir quelques heures plus tard. Ne trouvant pas Jean-Claude dans la caravane, elle décide d'aller voir chez moi. Le doute n'était plus permis. Jean Claude et Martine étaient bien là, ensemble, et pour eux la surprise fut totale.


Quand je suis rentré le soir, Martine m'a tout de suite mis au courant de cette situation qu'elle ne pouvait évidemment pas me cacher. Patricia est venue dans la soirée, comme une furie, pour me dire ce qu'elle pensait de Martine, a fait son petit scandale, et nous a dit qu'elle ne voulait plus jamais entendre parler de nous. Nous n'avons plus jamais renoué le moindre contact.


Voila comment des retrouvailles se terminent en séparation définitive.


Ce que Martine m'a avoué par la suite, c'est qu'elle avait couché une 1ere fois avec Jean-Claude lorsque nous les avions hébergés chez nous. Puis ils se sont revus les lundis suivants. J'ai voulu savoir dans les détails ce qu'ils avaient fait ensemble. Je voulais savoir comment il l'avait baisée, ce qu'ill lui avait fait, ce qu'elle lui avait fait. J'avais besoin de le savoir.

Martine m'a raconté que ce matin la, alors qu'elle était dans la cuisine, il est arrivé derriere elle et l'a enlacée presque amicalement. Plutot que de le repousser, elle s'est rapprochée de lui. Il l'a alors embrassé et entrainée dans notre chambre. J'étais heureux de savoir qu'il l'avait deshabillée. Je ressentais un certain plaisir d'apprendre qu'elle l'avait sucé et qu'il lui avait mangé la chatte. J'étais presque content de savoir qu'il lui avait mis sa bite entre les jambes, qu'il avait penétré sa chatte et joui en elle. Je savais qu'elle ferait en sorte qu'il l'a baise en levrette. Je savais qu'au moment ou elle le sentirait jouir en elle, elle passerait sa main entre ses jambes pour saisir les couilles de Jean Claude et les presser délicatement pour les vider jusqu'a la dernière goutte de sperme, comme elle aime le faire. J'espérais que la bite de Jean Claude soit bien dure et qu'elle remplisse bien sa chatte.

 

Mon regret, c'est que Jean Claude n'ait pas réussi à l'enculer malgré une timide tentative. Martine est toujours vierge de ce coté là.


Cette histoire n'a pas provoqué en moi la colère du mari trompé. J'avais juste un peu honte de savoir que j'allais etre le cocu du village.

C'est seulement aujourd'hui que je me rends compte que ma réaction, ce plaisir dissimulé de savoir que ma femme se fait baiser par un autre, c'est celui d'un candauliste.

 

C'est grave ?

martine 17-10-10

Par kallumet.erog.fr - Publié dans : Martine
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Mardi 19 octobre 2 19 /10 /Oct 10:33

 

 

 

Un petit mot pour débuter ce blog. Nous sommes un couple marié de...d'un certain age. J'ai voulu creer ce blog pour partager avec mes amis rencontrés sur internet, quelques photos de nous, et aussi raconter a ceux qui passeront par ce blog, nos envies, nos rencontres...J'attends, bien sur, vos commentaires, vos impressions, vos suggestions et aussi vos propres expériences.

 

Jerome.

Par kallumet.erog.fr
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